Entre Moutiers et Pornic
A presque midi, Nous prenons le train à la gare de pont rousseau , pour Les Moutiers en Retz, commune au bord de la baie de Bourgneuf de 1703 Mosnastériens et Monastériennes, De la gare nous remontons au bourg admirer le clos de l'église et de la lanterne des morts
LA LANTERNE DES MORTS
Si les lanternes sont des monuments médiévaux rares, de tradition plutôt périgourdine, limousine ou poitevine, cette lanterne des morts est unique dans la région. Il en reste moins d’une cinquantaine en France, et seule celle des Moutiers est toujours en fonctionnement, et systématiquement allumée pour certains événements : à chaque décès dans la commune, le soir de la Toussaint et le jour des Trépassés. Ce monument religieux, symbolisant la lumière du Christ, est inscrit au titre des Monuments historiques depuis 1913. La lanterne des morts est située à l’emplacement de l’ancien cimetière, au milieu de la place principale du bourg. Cette tour de 7 mètres de haut et de 1,50 mètre de circonférence compte trois petites fenêtres dans sa partie haute, permettant de voir la lumière de la lampe. Jadis, la veilleuse était alimentée à l’huile, aujourd’hui l’électricité l’a remplacée. La porte située au bas de la tour ouvre sur un escalier de huit marches accédant à la lanterne proprement dite. A l’extérieur de cette tour des morts, un autel est dédié à saint Joseph, patron de la Bonne Mort.
Puis départ vers la côte où nous cheminons au soleil pendant 5 km pour arriver à la Bernerie par le port royal et les canons du 'Juste' vaisseau de ligne à deux ponts coulés en 1759 sous Louis xv , puis le bassin de baignade – refus du groupe de se baigner!
Nous sommes remontés dans les ruelles ,la marée haute nous permettant pas de longer la plage jusqu'à la Boutinardiere ,à partir de cette plage (8 km )nous sommes à Pornic : Pêcheries, dolmen de Prédaire et de la Josseliere, la fontaine aux Bretons , plage de la source et la thalasso ,de là nous faisons le tour de la pointe de Gourmelon, ici ce sont les demeures qui nous intéresses et une révision sur les lambrequins – j'ai proposé que chacun-ne en trouve un pour monter dans le train !
Arriver à la gare un petit tour dans le val Saint Martin ,arbre en fleur, panneau sur les abeilles et les ruches …
De retour à la gare, surprise Gréve des TER des pays de Loire Après le moment d'étonnement ,nous grimpons jusqu'au carrefour saint Gilles pour prendre un car Aléops, retour à l'heure prévue à Pirmil . Alors que tous ont trouvés des lambrequins personne n'ai montés dans un train !!
Soleil, fraîcheur et bonne humeur pour cet après-midi automnal
Torfou-Boussay
Et non car il y a un mouvement de grève
à la SNCF et les TER
Alors nous partons pour une valeur sûre et agréable : Clisson
Donc à 19h la veille ,décision prise:départ à 12 h pour Gorges (4752 Gorgeoises et Gorgeois) de la gare nouvelle nous rejoignons le parc écologique des Garennes (moutons, panneaux explicatives des végétaux et animaux du biotope ) Ce faisant nous descendons le long de la Margerie, ru qui rejoint la sèvre au pont Liveau/Angreviers ,avant de rejoindre le pont nous longeons une friche viticole (http://nantes.maville.com/actu/actudet_-mal-aimees-les-friches-viticoles-du-vignoble-de-nantes-peuvent-pourtant-etre-utiles-_region-4973722_actu.Htm)
Au km 2 nous arrivons au Liveau ,moulin à papier et musée après avoir été moulin à farine ,Suite à une pause-en cas ,nous montons dans le bois de Buis et son belvédère entretenu par le conseil général ,Ensuite nous longeons la sèvre pendant 3,5 km à notre gauche, à droite le mur d’enceinte du domaine de l'Oiselinière , après un petit détour au niveau du pont du périphérique Clisson/Gorges ( belle discussion avec un prof d'EPS dynamique de Collège) . Village et moulin de Gervaux avant d'arriver à la ville. Ensuite c'est le moulin du nid de l'oie ,bien rénové ,lieu d'exposition que nous découvrons ,de là nous remontons par les ruelles de la vieille ville à l'église Notre Dame puis le vieux pont pour rejoindre le viaduc et la toile d'Alain Thomas ensuite nous vagabondons pour admirer les couleurs d’automne dans le parc de la Garenne Lemot ,on en ressort pour redescendre par le nouveau cheminement (dû à la construction d'un lotissement près de la gendarmerie) au pont de l'arsenal là sur la rive gauche nous sommes à Cugand : le moulin de la feuillée puis Plessard
Mentionnés dès le XVIe siècle, les moulins de la Feuillée (de Haut et de Bas), dépendant des seigneurs de Clisson, sont exploités par les familles de meuniers Richard, Ouvrard, Chateigner. A la fin du XVIIe siècle, ils sont transformés en deux moulins à papier. En 1793, ils sont incendiés lors des troubles révolutionnaires puis reconstruits par Paul Louis Dagnet, «entrepreneur de manufacture de papier ». En 1837, les moulins sont vendus à l'industriel nantais Paul Chéguillaume. En 1840, le site est transformé en filature de coton. Racheté en 1896, le site est converti en tannerie et mégisserie puis en 1923 en chamoiserie. En 1966, la Feuillée devient le siège de studios de cinéma et télévision de Serge Danot, le créateur de séries télévisées « Manège Enchanté », « les Poucetofs », téléfilms « les grandes batailles du passé », la comédie musicale « les enfants de Cigalune ». En 1995, Mme Martine Danot poursuit les tournages durant quelques années. Depuis le site sert d'habitation et bureaux pour l'association qui organise le Hellfest chaque année à Clisson.
là nous remontons à Clisson (7 399 clissonnaises,clissonnais) vers la chapelle des templiers , Le parc Henri-IV (en face de la Garenne Lemot), dans lequel le sculpteur Lemot fait ériger une colonne surplombée du buste d'Henri IV et le cimetière St Gilles avec de temple de l'Amour nous rejoignons au plus rapide la gare en fin de rénovation
En 1866, l'actuelle gare de Clisson récemment construite sur l'axe ferroviaire Nantes - Saintes, se situait à l'origine sur le territoire de la commune de Gorges. Les clissonnais souhaitaient récupérer la jouissance du nouvel équipement, au grand dam des Gorgeois. La rivalité entre les deux municipalités fut telle, qu'il fallut faire appel à l’arbitrage du préfet. L’annexion de la gare et l'emprise ferroviaire environnante fut prononcée en 1932 en faveur de Clisson qui versa une compensation financière à Gorges, laquelle eu l’autorisation d’avoir sa propre gare, en fait une halte située au bas du bourg (situé sur une colline 22. Celle-ci resta en service jusqu'en décembre 2014, avant d'être remplacée par l'actuelle gare située plus proche du bourg
La commune se trouvant à la confluence de la Sèvre nantaise et de la Moine, elle a été victime à plusieurs reprises de fortes crues tout d'abord en 1960 et surtout en 1983 qui a vu tout le bas de la ville submergé par la Sèvre.
Le château de Clisson dont la construction a débuté au XIe siècle et s'est poursuivie au cours du XIIIe siècle, est classé au titre des Monuments historiques par décret du 13 août 1924, complété par une inscription en 2004 56.
- L'ancienne porte de ville, classée au titre des Monuments historiques par arrêté du 21 décembre 1984 57.
- Le domaine de la Garenne Lemot et sa villa (également sur les communes de Gétigné et Cugand), classé au titre des Monuments historiques en 1969 et 1986, puis inscrit au titre des Monuments historiques en 1988 et 2000 58.
- Le parc Henri-IV (en face de la Garenne Lemot), dans lequel le sculpteur Lemot fait ériger une colonne surplombée du buste d'Henri IV.
le moulin situé en contrebas du pont de Nid d’Oie pourra se visiter. Le moulin, en bord de Sèvre nantaise, a été restauré en 2015 pour accueillir les locaux de l’Établissement Public territorial de bassin versant. La visite guidée du bâtiment permettra de découvrir les vestiges de l’ancienne minoterie et de mieux connaître les missions de l’EPTB en faveur de la préservation des eaux et des milieux aquatiques
Le Moulin du Liveau à Gorges (44)
Le Moulin à papier du Liveau est situé en Loire-Atlantique, à Gorges sur les bords de la Sèvre nantaise.
Deux moulins à farine, l’un rive droite, l’autre rive gauche, composaient le site hydraulique du Liveau mentionné pour la première fois en 1407. Jusqu’en 1561, Il était propriété des seigneurs de Clisson.
- 1826, transformation du moulin de la rive droite en moulin à papier, activité plus prospère à cette époque, et construction du séchoir (étendoir) marqué dans son architecture par la forte influence italienne répandue à cette époque dans le canton de Clisson.
- 1827, début de l’activité papetière dans le moulin On y fabrique de «gros papiers gris» ou «papier à enveloppes» (papier d’emballage) vendus aux raffineries de sucres de Nantes.
- 1850, fin de l’activité papetière
- 1851 à 1952, reprise de l’activité meunière.
- 2001, rachat par la commune de Gorges du moulin laissé à l’abandon.
- 2014, travaux de réhabilitation en vue d’une activité artisanale papetière, à but culturel et touristique.
- 2015, ouverture au public
Une bonne journée d'automne ensoleillée ,il faudra que je réfléchisse à une autre sortie refuge dans le pays Clissonnais puisque la tempête Alex l'année dernière nous avait aussi obligée à trouver refuge à Clisson !
Merci à tous pour votre bonne humeur malgré les aléas dû à la météo , les gréves, virus et autres vicissitudes de la vie
La Basse-Indre Saint-Herblain
Nous partons des gares de Saint Sébastien vers 12 h 35 ,après une attente dans la nouvelle galerie de la gare de Nantes nous prenons le train pour la Basse-Indre Saint-Herblain ,Nous prenons la direction de Basse-Indre en empruntant une passerelle au dessus d'un marais , traversée de la ville pour atteindre l'embarcadère du bac que nous laissons partir cette fois ,on longue la Loire ,un étier pour parvenir à Haute-indre . Pont et tunnel et nous voilà à Tougas Saint-Herblain (herbinois 46352 ha): butte crée par l'accumulation de déchets mise en sécurité par des cheminées d’évacuation des gaz .2 km sur la butte avec vue sur un immense plateau photovoltaïque (26000 panneaux) ,les communes de Basse-Indre ,Saint-Herblain et Nantes son pont de Cheviré
Puis à la descente nous longeons la voie ferrée Nantes Savenay (Saint-Nazaire,Redon) puis à nouveau une grande passerelle sur le marais de la peloussière puis le village avant d'arriver à la Carrière de Pont Pierre ,son étang ,salle festive, son jardin méditerranéen et son belvédère de là par des petits chemins ( vu d'un cyprès chauve) nous accédons au vigneau puis la Rabotière ,ses jardins .On traverse le boulevard du Général de Gaulle pour traverser le Bois JO:partie aménagée comme partie sauvage sans se perdre ! pour accéder à la route de la Bernardière et la belle vue sur le pont de Cheviré . Puis le jardin et le bois de la Muse , le parc de la Méta ,le collège-Lycée Camus un jardin partagé aux lauriers où une partie du groupe se sépare à 13 km de randonnée Ensuite à 5 nous continuons à la nuit tombée par les ruelles de Chantenay : autour de la Boucardière ,rue de l'abbaye (naissance de Jules Verne) ,place jean Macé ,l'Abbaye des oblates, parc Schwob et les jardins des belvédères pour redescendre à la gare maritime où l'on se sépare à 16 km après un avant goût de notre sorties illuminations du 22 décembre . Merci à tous et à Danièle pour certaines photos
Le projet "Soleil de Tougas" est un projet de centrale photovoltaïque au sol situé sur les communes de Saint-Herblain et d'Indre, dans le département de Loire-Atlantique (44). Il est porté par la société VSB Energies Nouvelles, acteur de premier plan dans le secteur des énergies renouvelables en France, et spécialisé dans le développement, la construction et l'exploitation de centrales photovoltaïques, de parcs éoliens ou de centrales hydroélectriques.
Le Jardin de Pontpierre
Ce site de 23 hectares était occupé par une carrière de sable et de gravier jusqu'en 1983.
L'aménagement paysager du site de Pontpierre a débuté en 1999, en même temps que la construction de la salle de la Carrière.
Aujourd'hui un jardin de plantes méditerranéennes situé dans la partie nord du site y est installé. Et grâce à un bonne exposition et l'abri naturel que confère l'ancienne carrière notamment des vents du nord, permettent à
Ces plantes de s'y plairent.
Les végétaux s’étendent sur une surface de 5000 m² et sont mis en valeur par des enrochements de granit et grès volcanique.
Nom vernaculaire Cyprès chauve
Nom scientifique Taxodium distichum
Emblème de la Louisiane, le cyprès chauve Taxodium distichum est un grand conifère pyramidal qui affectionne dans son milieu naturel les habitats humides et peut développer des pneumatophores, excroissances des racines de quelques décimètres, qui peuvent sortir du sol en terrain humide. Parce que son feuillage ressemble à celui de l'if, on lui a donné le nom de Taxodium, du grec « taxos » (= if) et « eidos » (= forme, aspect). « Distichum » est le mot latin désignant quelque chose à deux rangs, faisant ici référence à la disposition des feuilles. « Chauve » vient du fait qu'il perd ses feuilles, fait rare chez un conifère .
Situé aux portes du quartier de Bellevue à Saint- Herblain, le Bois-Jo est un espace de nature en ville surprenant. Il est situé entre le sud du quartier et le périphérique. Ce vaste espace de 12 ha resté à l’état naturel est un lieu de promenade apprécié au pied des immeubles. Il présente deux parties très contrastées : au nord un espace très ouvert et aménagé avec des bancs, des tables de pique-nique et des plaines de jeux ; au sud une partie plus sauvage presque intacte très boisée avec des cheminements parfois escarpés insoupçonnés. Les promeneurs qui s’y aventurent peuvent s’offrir un dépaysement dans sa partie vallonnée, parcourue par un ruisseau bordé de vieux arbres et de fougères. Il n’est pas rare d’y croiser des écureuils, des hérissons et quelques renards. Les amateurs d’oiseaux peuvent découvrir des espèces communes comme la bergeronnette grise, le chardonneret, la mésange bleue, la grive musicienne, ou le moineau domestique, un oiseau familier en déclin.